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 Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.

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Aaliyah Z. Prady
Aaliyah Z. Prady
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MessageSujet: Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.    Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.  EmptySam 27 Avr - 10:18

Aaliyah Zelda Prady
«Si les autres ne comprennent pas ta peine, c’est qu’ils sont trop occupés avec la leur. »


Salut tout le monde, moi c'est Aaliyah Zelda Prady, je suis né(e) le dix huit janvier 1985 à la Nouvelle-Orléans. J'ai donc vingt-huit ans et toutes mes dents. Actuellement je suis une ex-prostitué devenu libraire , pour mon plus grand plaisir. Dans ma vie, je suis célibataire et je suis attiré(e) par les hommes. On me dit souvent que je suis impulsive, tordue, caractérielle, bornée, sans gêne, perspicace, intelligente, sans scrupule, dérangée, brisée, perdue, manipulatrice et que je ressemble beaucoup à Jennifer Morrison. Pour finir, je reste tellement fidèle à moi-même que je bois beaucoup de Thé noir.


mon secret : Un secret qui n'en a pas ? Pour ma part j'en ai trop pour n'en révéler qu'un seul. Mais si vraiment vous voulez le savoir mon secret n'en ai pas un à proprement parler, je suis une ex prostituer qui par ses conneries répétés à pousser l'homme qu'elle aimait à tuer par jalousie, n'est-ce pas une chose trop lourde à porter ? Si sans doute et pourtant je fais avec.

J'ai appris l'année de mes treize ans que j'étais bipolaire. ► Je suis assez violente, mais je me soigne, promis du moins j'essaye, la violence a quelque chose de jouissif. ► Je suis impulsive et pas vraiment dans le bon sens du terme, je fonce toujours tête baissée et je réfléchie une fois que tout est fini.► Je ne suis pas une personne qui s’attache, aux choses, comme aux gens. ► Lorsque je donne ma confiance en général ce n'est pas pour deux jours, c'est plus fort que ça, mais il ne faut pas jouer avec parce que je peux être vraiment mauvaise. ► Charmante et charmeuse, je joue de mes atouts. ça fonctionne assez bien en général. ► J'aime faire la fête, je n'ai pas besoin de beaucoup de sommeil alors profitons. ► Je sais que je suis rancunière, on ne joue pas avec moi, je peux faire vraiment très mal. ► Sarcastique j'ai toujours la petite phrase qui tue. ► Trop franche d'après certaines personnes mais, je m'en fou, un peu de franchise ne fais pas de mal. ► Je n'aime pas qu'on se paye ma tête, je me venge souvent, non toujours enfaite ! ► On dit de moi que je suis une des personnes les plus fortes que vous ne rencontrerais jamais, quoi qu'il arrive, je fais tout pour sauver les apparence et faire croire que tout va bien. ►Je suis une très bonne menteuse, jamais vous ne pourrez savoir quand je mens ou quand je dis la vérité. ► Je suis le genre de personne qui arrive facilement à cerner les gens, en général il me suffit seulement d'une heure avec eux et je peux pratiquement vous dire leur façon d'être. ► J'aime l'effet que la drogue a sur moi. ► Je suis sure que Tim Burton aurait pu créer un personnage de film à mon effigie. ► Je ne doute jamais. ►Je n'ai peur de rien. Enfin presque...► Je ne bois que de la bière et de la vodka ► Je suis lunatique, bornée & têtue. ► Un peu maso sur les bords, j'aime souffrir, il n'y a que comme ça que j'avance. ► Camé ? Ouais peut-être bien ! ► Vindicative ? Totalement !

Poushy/Charlene
Salut à tous, comme vous avez lu en haut, je me prénomme Poushy et j'ai 25 ans. Je suis disponible 5j/7 et j'ai trouvé le forum grâce à mon chou à la crème. Pour le moment, je le trouve très sympa. Au passage, je ne souhaite pas être parrainé et je suis un personnage inventé par mes soins. Je dois mes images à tumblr et je voulais vous dire une dernière chose : Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.  3660798805

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Dernière édition par Aaliyah Z. Prady le Mar 28 Mai - 20:57, édité 17 fois
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Aaliyah Z. Prady
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MessageSujet: Re: Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.    Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.  EmptySam 27 Avr - 10:18

L'histoire de la vie

«Je suppose que c'est bel et bien une tragédie, parfois, de se sentir obligé d'être celui qu'on est.»

« Mais tu vas la fermer oui, qu'est-ce que tu veux que je t'envoie à l'hôpital une fois de plus ?» La Nouvelle- Orléans, berceau de la musique jazzy et de la bonne nourriture à base de crevette, chaque année nous avions un nombre incalculable de touriste en visite dans le très célèbre quartier français ou sur les bords du Mississippi, mais personne d'assez fou pour passer par ce quartier d'où provenait les éclats de voix. Une soirée de plus. Les voisins entendaient, mais avec le temps ils avaient appris à ce taire et se faire tout petits. Un manque de courage, une peur des représailles ? Sans doute, mais il devait surtout y avoir le fait qu'ils en avaient marre de voir la police débarder dans l'immeuble à chaque heure de la journée comme de la nuit. Je ne pouvais pas vraiment leur en vouloir et puis avec le temps je trouvais que j'encaissais plutôt bien les coups. On pourrait presque dire que ça m'avait endurcie. Au bout de quinze ans, ça devenait presque une routine, chaque soir c'était la même chose, alors oui l'habitude avait pris le pas sur le reste. Malheureusement entre temps une certaine assurance avait pris possession de tout mon être et ce qui était à la base un jeu de punching ball devenait une vraie démonstration de force, c'était à celui qui frapperait le plus fort, celui qui resterait le dernier debout, seulement, je n'étais pas encore assez forte à ce jeu-là et je finissais toujours à terre. Une fois de plus, j'avais voulu et comme la têtue que je suis j'avais perdu, le sang coulait de ma lèvre et de mon front, un hématome ferait sans doute son apparition d'ici quelques heures au niveau de mon épaule et pourtant je souriais, quel spectacle pathétique je lui offrais là. Sa main dégoulinante de mon sang vint se poser derrière ma nuque pour me relever. Le con il ne m'avait pas loupé cette fois. Je me relevais, ne tenant pas vraiment bien debout, le regardant droit dans les yeux. « Tu me touches encore une fois et je te jure que ce sera le dernier geste que tu feras.» Cette fois j'étais déterminé à partir, déterminé à vivre autre chose que cette vie misérable qu'il m'offrait. Même si je me sentais plus survivre que vivre lorsque je passais le pas de la porte.

Je marchais sans but précis bercer par la douceur d'une chaleur que m'apportais cette nuit de juillet, dire que j'avais été lâche était un euphémisme, seulement j'aurais du continuer à vivre de cette façon, continuer la peur au ventre à rentrer chez moi tous les soirs ? Personne n'avais le droit de vivre comme ça. J'aurais pu comprendre sa position s'il me l'avait expliqué, je n'étais plus une enfant depuis bien longtemps. Alors, s'il avait pris le temps de parler avec moi, j'aurais pu faire en sorte de me mettre à sa place, de simplement compatir à ses malheurs, mais il ne l'avait pas fait, choisissant la facilité en ce plongeant dans l'alcool et la violence, plutôt que de dire à sa fille à quel point il pouvait souffrir du départ de sa femme ou encore des atrocités qu'il avait vécus durant les années où il avait été dans l'armée. Sa déception d'avoir une fille et non un fils. Tout ça j'aurais pu le comprendre, mais de toute évidence il ne m'en jugeais pas capable. « Ma jolie, je te dépose quelque part ?» Je tournais la tête en direction de la voix qui apparemment s'adressait à moi, il ne m'avait pas vu à la lueur d'un réverbère et je le vis à sa réaction, car il ne ce fit pas prier et sorti de sa voiture pour s'approcher de moi. J'en aurais presque oublié que j'avais encore le visage en sang. « Tu vas bien, enfin qu'est-ce qui t'es arrivé ? » Je reculais, peu enclin à vouloir faire la conversation à n'importe qui et surtout pas d'humeur à me laisser charmer par le premier abrutit qui passait. Je passais mon chemin sans plus de cérémonie, alors que le jeune homme n'était pas d'avis à me laisser partir, je sentis sa main m'attraper le bras et me retourner sans aucune délicatesse vers lui. « Mais bordel, je vais bien, vous allez me laisser tranquille oui ? » Je tentais tant bien que mal de me dégager de son étreinte, mais le peu de force qui me restais c'était totalement évaporé et je le laissais m'aider à marcher jusqu'à sa voiture. « Tu me remercieras plus tard. »

•••••••••••••••••••••••••

« Bon sang Aaly, tu es douée. » Je me tournais vers la voix masculine juste derrière moi, un sourcil septique levé, bras croisé sous la poitrine et mine dubitative sur le visage, qu'est-ce qu'il allait encore m'inventer cette fois ? « C'est une évidence et ce n'est pas nouveau, mais tu peux développer ta pensée s'il te plait ? » Voilà maintenant une année complète que je partageais l'appartement de Jason, je le remerciais intérieurement chaque jour de m'avoir ramassé sur ce trottoirs, alors que j'errais sans savoir où aller, d'ailleurs je me demandais encore où je serais s'il n'avait pas croisé ma route. Aujourd'hui il était mon pilier, la seule personne sur laquelle je pouvais me reposer sans jamais rien lui demander en retour. C'était le côté pratique de notre relation, qui restait complétement platonique. « Tu as réussi à me faire fantasmer alors que tu n'es même pas nue. » Je levais les yeux au ciel d'un air amuser et lui balançait la première chose qui me tomba sous la main. Je savais bien que mon sex-appeal n'était plus à démontrer, mais quand même. « Dommage que tu n'es pas le droit de toucher » Je lui fis un petit clin d'oeil provocateur avant de retourner à la lecture de mon journal. C'était la première fois que je sentais un peu de stabilité dans ma vie, la première fois que je me sentais bien. Et j'y aurais presque pris gout.

Quelques coups donner sur la porte d'entrée, un grincement, un bruit sourd et plus rien, le vide, le silence. Tout a été très vite, bien trop vite que je n'aurais même pas eu le temps de réagir. J'entrais dans le petit appartement qui me servait de refuge depuis plus d'un an maintenant, sans me soucier du fait que la porte d'entrée n'était pas fermé. Pourtant ça aurait dû me sauter aux yeux, me prévenir, mais non, j'avançais dans l'obscurité de l'appartement cherchant à tâtons la lumière et une fois celle-ci allumer, la scène qui s'offrait à moi me fit suffoquer. Du sang s’étalait sur une bonne partie du parquet avec en son centre l'homme qui au fil du temps était devenu plus que mon ami, plus qu'un frère, celui qui m'avait tout simplement sauvé d'une vie minable, d'un avenir incertain, durant une petite année du moins. « Jason. » Je me précipitais sur le corps inerte de mon ami, le secouant, tentant en vain de le réveiller, j'aurais dû voir ou du moins comprendre que c'était fini, qu'il était déjà parti. Mais je ne le voulais pas. Les larmes roulaient sur mes joues rougies, sans que je ne puisse rien y faire. Qui aurait pu faire ça, tuer un homme chez lui sans raison ? C'était tellement illogique et incompréhensible. Je venais de perdre mon pilier, comment pouvoir avancer après ça ? Quelque chose attira mon attention, un petit papier qui jusque là n'avais pas eu un grand intérêt pour moi, je l'attrapais et lu les quelques mots qui finirent de m'achever. J'aurais dû le savoir, me douter que jamais il ne me laisserait en paix, jamais il n'accepterait mon bonheur. "Tu n'aurais pas dû partir." était les seuls mots écrient sur ce papier couvert du sang de mon ami. Je ne pouvais pas croire qu'il soit venu jusqu'ici et qu'il l'ai tuer lui. Il aurait pu attendre que je rentre et s'en prendre à moi, mais non, mon père était bien plus tordu que ça, il voulait que je souffre, il voulait me voir au plus bas. On pouvait dire qu'il avait diablement bien réussit son coup. Il n'aurait pas pu me faire plus de mal.

•••••••••••••••••••••••••

L'odeur de la cigarette et de l'alcool me chatouillait les narines. Des mains aux doigts plus que douteux se posant sans aucune gêne sur mon postérieur sans que je ne puisse réagir. Voilà maintenant quelques heures que le soleil c'est couché, laissant place à une lune ronde et pleine, des femmes en petites tenues prennent places dans les rues, commençant comme à leurs habitudes, leur "journée." Ce soir je me déhancherais autour de cette barre si familière, avant de finir certainement ma nuit dans les bras d'un type dont la femme attendait surement sagement à la maison. Je me fichais éperdument de leur passé, de leur présent, qu'ils soient mariés, pères de famille, taulards ou encore simple passant. Ce qui m’intéressait était ce qui se trouvait dans leur portefeuille, qu'ils me payent, point final. Le reste n'était qu’accessoire. « Dit blondinette, tu m’emmènes dans le carré VIP ? » L'homme, costard cravate, une cinquantaine d'année, les cheveux poivre et sel, je lui trouve même un petit côté Richard Gere, surement un homme d'affaire de passage en ville, ne sachant quoi faire de mieux que de se trouver une distraction féminine pour la nuit. Je lui souris, charmeuse et glisses doucement mes mains le long de ses épaules. « Si tu as les moyens de passer un moment avec moi, je t’emmène où tu veux chéri. » Je ne doutais pas vraiment de ses moyens, sa façon de s'habiller était bien trop classe pour qu'il ne soit qu'un petit employé, non, je le voyais bien directeur d'une belle entreprise qu'il aurait surement monté lui-même. C'était une chose que je faisais lorsque le temps me le permettait, j'inventais une vie aux gens, essayant de découvrir qui ils pouvaient être. Pathétique, mais il fallait bien occuper un peu cette vie que je n'avais choisi. Jason hantait encore mes pensées et j'étais pratiquement sûr qu'il serait terriblement déçu de voir ce que j'étais devenu, de voir que je n'étais pas capable de donner tord à mon père lorsque celui-ci me disait que je finirais sur le trottoir. Mais sans diplôme, ni expérience professionnelle, je ne pouvais rien faire d'autre que de vendre mon corps pour quelques billets.

« Mais, enfaite tu n'es qu'une pute. » L'envie de rire me bloquais la gorge, était-il entrain de me faire une blague, je n'arrivais pas vraiment à le savoir, bien qu'il avait vraiment l'air sérieux. Je le regardais, d'un air outré et pourtant terriblement ironique. « Oh non, ça c'est pas gentil et c'est moche de dire ça, pourquoi me mettre une étiquette tout de suite. Je suis une femme qui donne du plaisir aux hommes pour de l'argent. » Je refermais d'un geste presque mécanique, ma jupe, bien trop courte pour être légale. « Attend, tu as raison, je suis une pute. Donne-moi mon fric maintenant, c'est pas gratuit chéri. » J'attrapais les quelques billets qu'il me tendait et sortait de sa chambre sans plus de cérémonie. Il ne pensait tout de même pas que j'allais le laisser jouer avec moi sans rien en retour, surtout que pour le plaisir on repassera...Je descendais les escaliers de ce petit immeuble où j'étais déjà venu une fois. J'avais cette impression étrange de connaitre chaque endroit de cette ville, chaque chambre, il n'y avait plus de plaisir, plus de surprise. J'aurais voulu être étonnée, apprécier, aimer, mais je n'étais qu'un corps qu'ils payaient pour une heure de bon temps. J'aurai pu me sentir sali ou encore me dégouter, mais ce n'était pas le cas, au moins j'étais sûre d'avoir de l'argent chaque jours. Parce qu'au-delà du loyer que je payais pour un appartement plus que minable, cet argent me servait à survivre depuis plus de six mois maintenant. J'aurais très bien pu ne pas tomber dans toute cette merde, être une "pute" était déjà bien assez dégradant, fallait il que je rajoute la consommation de drogue en plus pour alourdir un dossier au passé déjà bien encombré ? J'aurais pu passer entre les mailles du filet et ne pas finir comme toutes les autres, mais je n'étais de toute évidence pas assez forte pour ça.




Dernière édition par Aaliyah Z. Prady le Mar 28 Mai - 20:58, édité 17 fois
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Aaliyah Z. Prady
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MessageSujet: Re: Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.    Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.  EmptySam 27 Avr - 10:19

L'histoire de la vie

«Pour le désespoir de l'homme, il ne peut rien faire que d'imparfait, soit en bien, soit en mal. Toutes ses œuvres intelleetuelles ou physiques sont signées par une marque de destruction.
»

Le manque cette sensation horrible qui vous prend les entrailles, vous bouffant de l'intérieur, , cette sensation qui vous fait complétement perdre pieds, vous poussant parfois au pire. J'aurais pu tuer pour une dose ou même la moitié de ma dose habituelle. J’arpentais les rues de la ville à la recherche de la personne qui me sauverait de mon manque, ça devenait compliqué à gérer et pourtant j'arrivais encore à marcher, ce qui n'était déjà pas mal. Des gens couraient dans les rues se tenant la main, marchant en amoureux, profitant de la soirée à deux. Tomber amoureuse je n'y avais jamais pensé. Ce n'était pas une option pour moi, je savais que j'en étais pas capable, m'attacher à quelqu'un aurait été vraiment cruel au vu de ma vie minable. Je trébuchais sur un trottoir me rattrapant de peu à ce qui semblait être une voiture. Je portais une main fraiche jusqu'à ma nuque et massa douloureusement cette partie qui aurait pu m'aider à me réveiller à me reconnecter avec la réalité. Je savais que j'aurais dû réduire cette consommation, histoire que le manque soit moins douloureux, mais il m'en fallait toujours plus. Je sortais de la poche intérieure de ma petite veste en cuire un paquet de cigarette et portait délicatement le petit bâtonnet de nicotine jusqu'à mes lèvres, l’allumais d'un geste mécanique et tirais cette bouffé d'air nocif qui me ferait du bien le temps de quelques secondes. Je marchais un peu plus sûre de moi, avant de tourner à l'angle d'une petite rue sombre que je connaissais que trop bien. Je jetais le petit mégot un peu plus loin et m'approchais, perché sur mes talons de seize centimètres, d'un homme qui devait certainement m'attendre. Je ne voulais pas le regarder, je me fichais de son apparence, de son regard froid et dur, tout ce que je voulais c'était ce qui se trouvais dans sa poche, le reste ne m'importait peu et pourtant quelque chose m'attirais en lui. Il n'était pas comme les dealers que je fréquentais habituellement, je n'arrivais à définir ce que c'était, mais il était différent. Il me tendait le petit sachet et je lui donnais son argent avant de m'éloigner sans plus de cérémonie, j'avais enfin entre les doigts mon laisser passer pour quelques heures d'évasion, une petite nuit durant laquelle je serais seule dans mon trip, tranquille, ailleurs.

Putain, j’vois ici les hommes les plus forts et les plus intelligents que j’aie jamais vu. J’vois tout ce potentiel, et j’le vois gâché. J’vois une génération entière qui travaille à des pompes à essences, qui fait le service dans des restos, qui est esclave d’un petit chef dans un bureau. La pub nous fait courir après des voitures et des fringues, on fait des boulots qu’on déteste pour se payer des merdes qui nous servent à rien. On est les enfants oubliés de l’histoire mes amis, on n’a pas de but ni de vraie place ; on n’a pas de grande guerre, pas de grande dépression. Notre grande guerre est spirituelle, notre grande dépression, c’est nos vies. La télévision nous a appris à croire qu’un jour on serait tous des millionnaires, des dieux du cinéma ou des rock stars, mais c’est FAUX. Et nous apprenons lentement cette vérité. On en a vraiment, vraiment, plein le cul.


Assise sur un coin de la table de comptait encore et encore ces petits billets verres qui se trouvaient entre mes mains, je ne pouvais pas le croire, l'argent me manquait et je commençais à perdre patience, une fois de plus je reprenais tout depuis le début devant les yeux ahuris des filles autour de moi. Aucune d'entre elles n'auraient eu le courage de venir jusqu'à moi pour me proposer leur aide, j'étais partie dans une folie qu'une seule chose pouvait calmer, malheureusement ce n'était pas pour ce soir. Je frappais de ma paume sur cette table qui ne tenais déjà par je ne sais quel miracle, faisait renverser un verre par la même occasion. J'aurais surement pu hurler ou même pleurer à cet instant précis, mais aucun son ne sortait de ma bouche. Je plaquais mes mains sur le haut de ma tête, complétement perdu, anéanti et surtout désespéré. Je devais trouver une solution pour ce soir, juste pour avoir cette dose qu'il me manquait pour tenir une nuit. Je descendais de cette table qui m'avait servi de siège durant quelques minutes et me dirigeait vers le bar avant d'attraper une bouteille de vodka et de boire directement au goulot. Je possédais, s'il ont pouvait dire ça, la chance de finir la tête à l'envers seulement si je buvais autre chose que de la vodka ou de la bière, je devais certainement remercier ma mère et ses origines russes pour ce petit plus dans ma vie. Malgré ça, le manque plus la vodka, ne faisait pas vraiment bon ménage, mais ça avait au moins le don de me donner des idées, je me vendais jours après jours pour un peu d'argent, pour payer cette petite poudre blanche qui me ferait tenir jusqu'au lendemain, je pouvais donc trouver la personne qui accepterait d'en profiter un peu et je savais exactement où aller...

•••••••••••••••••••••••••

J'entrais dans cet immeuble, montant les quelques marches qui me séparaient du moment tant attendus, venir jusqu'à chez lui n'était surement pas la meilleure des idées, mais je n'avais pas d'autre choix, je devais y arriver et il devait me céder, je ne m'en relèverais surement pas sinon. Heureusement que les dealers n'était pas le genre de mec à avoir une morale et qu'un certain Mark m'avait très gentiment donné son adresse, sinon je serais très certainement encore entrain de m’arracher les cheveux dans ce petit club maudit qui me servait de lieu de travail. Une fois devant la porte de dit appartement je ne mis pas longtemps avant de frapper de cette main tremblante. Quelques minutes et il se matérialisait devant moi, torse nu, avec ce qui semblait être une serviette sur l'épaule, je supposais donc qu'il sortait de la douche. C'est que je pouvais être perspicace lorsque je m'y mettais. Je le jaugeais du regard quelques secondes avant de reprendre contenance, je ne devais pas lui laisser voir la moindre faiblesses. La première approche n'était pas des plus agréables, mais je pouvais comprendre sa réticence à me voir chez lui. « Écoute Logan, toi et moi on pourrait vraiment faire de belles choses ensemble. » Ma voix était charmeuse, elle se voulait sensuelle et sûre. Il avait ce dont j'avais besoin et moi je pouvais lui donner beaucoup en retour, je n'étais ni dupe ni naïve, ses regards qui se voulaient "professionnel" et détaché lorsque je venais à lui pour récupérer mon bien, ne faisait que accroitre ma certitude que je ne le laissais pas tellement indifférent. Je me demandais combien de nanas paumés en manque de leur petit plaisir quotidien avaient foulé le seuil de cet appartement. Combien d'entre elles lui avait proposé ce que je lui demandais en ce moment ? Elles étaient combien à avoir pleuré supplier jusqu'à partir sans jamais obtenir le fameux sésame si précieux à nos yeux, nous autres camés. Il n'était surement pas ce "genre" de personne, il n'était pas de ceux qui se prostituaient pour quoi que ce soit. Mais au final pouvait-il prétendre être mieux que la personne que j'étais devenu ? Je ne lui laissais pas la chance de me mettre à la porte, me jetant presque sur lui, plaquant mes lèvres sur les siennes dans un baiser qui avait plus l'air d'un appel à l'aide, d'un moment de folie furieuse, mais dont je ne voulais pas m'échapper. Mon corps brulant coller contre le sien, dans une étreinte qui n'avait rien de douce, me donnait terriblement envie d'aller plus loin. « Tu vas juste profiter de ce moment et je te promet qu'après ça, tu ne voudra plus jamais me laisser partir. » Il se laissait aller, lâchant prise quelques secondes et il n'en fallu pas plus pour que j'en profite, j'avais gagné il le savait et s'en mordrait très certainement les doigts plus tard, mais pour l'instant, je ne m'en souciais guère, profitant de ce plaisir charnelle qui s'offrait à nous sans contraintes.

Allonger sur son lit, j'ouvrais difficilement les yeux, je regardais autour de moi essayant d'analyser où je me trouvais. Et doucement les souvenirs de la veille me revint en mémoire, deux corps s'offrant l'un à l'autre, bien plus facilement que je ne l'aurais cru, un plaisir que je n'avais pas ressenti depuis bien longtemps, tout mon être en demandait encore, cherchant irrémédiablement le contacte de l'autre. Je tournais la tête pour m’apercevoir que j'étais seule, plus de Logan dans les parages. Devais-je m'en soucier ? J'attrapais mes affaires, me glissant dans cette robe qui mettait certain de mes atouts en valeur, ne cachant que trop peu de mon corps encore engourdie par une nuit dont il se souviendrait. Mes talons claquaient sur le sol et ce n'était donc pas très discrète que j'arrivais dans le salon. « Tu es là, j'ai cru que tu avais déserté de peur de me croiser ce matin. » Je m'approchais du jeune homme et me posais sur ce qui semblait être sa table de cuisine. « J'ai des chaises. » Je tournais un regard perplexe vers lui et descendais de la fameuse table pour poser mes fesses sur une des dites chaises. Je ne pouvais m'empêcher de le regarder, quelque chose de sauvage et lointains ce dessinais sur ses traits, je me demandait qu'elle pouvait être son histoire, qu'est-ce qui l'avait conduit à vivre comme ça ? Devenir dealer, n'était surement pas un rêve de gosse. Tout comme jamais je n'aurais pensé devenir prostitué. Mais quelque chose de plus fort que nous, nous avais poussé dans cette direction. J'attrapais une pomme et jouais avec sans pourtant le lâcher du regard. « Ouais, bon c'était sympa, mais j'ai du boulot moi, alors à la prochaine. » Je me relevais attrapant ma veste et pris la direction de la sortie avant que sa main ne se referme sur mon bras me poussant à me retourner. Je fronçais les sourcils, glissant mon regard de sa main à ses yeux. « J'ai un marché à te proposer. » Voilà qu'il attisait ma curiosité, je ne pris pas la peine de parler, le laissant continuer sur sa lancer. « Je veux du régulier, toi et moi, en échange je te donne ta came, mais tu ne vas pas voir ailleurs. » Je me mordis la lèvre, réfléchissant à ce marché plus qu'intéressant, mais en même temps où était ma liberté ? Je lui fis un petit sourire et me détacha de lui pour jeter ma veste sur le canapé. « Deal. »

•••••••••••••••••••••••••

I can't tell you what it really is I can only tell you what it feels like And right now there's a steel knife in my windpipe I can't breathe but I still fight while I can fight As long as the wrong feels right it's like I'm in flight High off of love, drunk from my hate It's like I'm huffing paint And I love it the more that I suffer, I suffocate And right before I'm about to drown she resuscitates me


Depuis ce fameux marché que j'avais passé avec Logan, que me sentais tomber dans une routine qui me faisait peur, je n'étais maintenant cantonné qu'au rôle de régulière du petit dealer du coin et les premiers temps ça ne m'avait pas tellement dérangé seulement avec le temps, j'avais cette horrible impression de n'être qu'un lion en cage, dans une cage doré certes, mais ce n'était pas moi. Et le fait d'être irrémédiablement tombé amoureuse du jeune homme, ne m'aidait vraiment pas. « Hey les mecs regarder un peu ce que le vent nous porte, la pute de Mcquillan. Si je m'attendais à ça. » Je serrais les dents, m'empêchant de lui péter les deux jambes, s'il y avait bien quelque chose que j'avais appris à vivre quinze ans sous les coups de mon père c'était de faire très mal, donc me chercher n'était surement pas la meilleure des choses que ce pauvre idiot pouvait faire ce soir. Surtout que l'alcool coulait à flot dans son sang, ça serait presque trop facile, je ne retirerais aucun plaisir à le faire souffrir. « Alors, ma jolie tu t'es perdu ou ton cher et tendre t'a laissé sortir ? » Je me retournais et m'approchais dangereusement du petit rigolo, le regard plus noir que jamais. « C'est quoi ton problème ? Tu veux perdre l'usage de tes jambes ? Ou alors, laisse-moi deviner, tu es juste déçu d'être le seul mec de la ville à ne pas m'être passé dessus ? Désolé, trouve les moyens et on en reparlera. » Je m'éloignais le plus vite possible avant de finir par le tuer de mes propres mains.

Un bruit de porte me fit sursauter et pourtant, j'étais sûre que la porte d'entrée était fermé à clef, surement mon imagination. J'étais allongé dans un lit qui n'étais pas le mien, un lit dans lequel je n'aurais pas dû me trouver, mais je n'avais pas réussi à résister, à juste passer outre cette peur qui me bouffait de l'intérieur et refuser les avances de ce type trop insistant. Non, au lieu de ça, je lui avais souri, accepter son verre et de le suivre chez lui par la même occasion. J'étais donc allongé là dans cette chambre miteuse avec au-dessus de moi un type qui pouvait facilement me donner envie de vomir. Mon comportement me donnait envie de vomir. S'il venait à l'apprendre je ne donnais pas cher de ma peau. Je soupirais de désespoir, la culpabilité ce bloqua dans ma gorge sans que je ne puisse rien faire. L'homme au-dessus de moi dû prendre mon soupire de désespoir pour du plaisir, ce qui le poussa à accélérer le mouvement, ce qui me fit lever les yeux au ciel, malgré moi. Et une voix arriva jusqu'à mes oreilles, me poussant à fermer les yeux quelques secondes, le morse qui se trouvait sur moi trouva assez intelligent de se dégager. « Logan comment...» La peur me brulait les entrailles et tout ce passa très vite, sans que je ne puisse vraiment réagir l'homme à mes côtés tomba lourdement sur le matelas, mort. Je n'avais pas crier, pleurer ou même réagit. Je me trouvais dans un état léthargique, dont je n'arrivais pas à sortir. Il venait juste de tuer un homme, à cause de moi et ça je savais que jamais je n'arriverais à le supporter. Je n'aurais su dire combien de temps était passé jusqu'à ce que de sois enfin reconnecté avec le monde réel. Je croisais le regard d'un homme en uniforme qui me parlait, mais dont je ne comprenais pas un traitre mot. J'avais l'horrible impression de me réveiller après vingt-quatre heures de sommeil.

« Il en a pour quatre ans Ali. » Je relevais la tête vers la voix féminine qui me faisait face et posait mon journal sur la petite table basse. Je haussais les épaules et m'enfonçait un peu plus dans le canapé en cuir noir qui trônait au milieu du salon qui me servait de domicile depuis quelques jours. « Qu'est-ce que tu veux que j'y fasse ? Ce n'est pas comme-ci j'allais l'attendre. Je connais assez Logan pour savoir qu'il me haït plus qu'il ne pourra jamais haïr. Je vais juste...partir. » Je m'approchais de la fenêtre et fermait les yeux, happé par un vent frais qui me fit beaucoup de bien. C'était décidé, je ne pouvais plus vivre ici. Il fallait juste que je fasse ma vie ailleurs, loin de son souvenir.

•••••••••••••••••••••••••

Le temps file, le temps n’attend personne. Le temps guérit toutes les blessures. Tous autant que nous sommes nous voulons plus de temps. Du temps pour se relever, du temps pour grandir, du temps pour lâcher prise. Du temps.

Quatre ans que j'étais parti de la Nouvelle-Orléans, me persuadant que tout ce qui me fallait c'était un nouveau départ, un renouveau ailleurs loin de cette ville, qui m'avait tant donné, mais au final beaucoup trop pris. J'avais joué avec le feu, ce feu ardent qui me consumait chaque jour, me perdant dans des sentiments qui me dépassaient, que jamais je n'aurais cru ressentir un jour et pourtant ils m'étaient tombés dessus, sans que je ne m'y attende, sans que je ne puisse rien contrôler et comme tout le reste j'avais foiré ça aussi. Faisant en sorte de tout envoyer valser. J'avais aimé au point d'en devenir folle, au point de non retour. Je ne savais pas ce qu'aimer voulait dire ou même représentait, mais je savais que j'avais tout de même ressentit ce sentiment qui m'avait détruite de l'intérieur, bien plus que toutes ses nuits avec des types pour lesquels je ne ressentais rien, bien plus qu'une soirée avec mon père qui me rappelait l'erreur que j'étais, bien plus qu'une dose de came. Aimer m'avait conduit à me perdre en chemin autant que lui. C'est pourquoi, j'étais partie, quittant cette ville qui avait toujours été mienne pour un nouveau décor aux antipodes de ce que je pouvais connaitre. Je voulais juste vivre autre chose et oublier. Mais comment oublier lorsque l'objet qui hante vos pensées, arrive en ville et que les retrouvailles risque d'être beaucoup moins réjouissante que prévu ?






Dernière édition par Aaliyah Z. Prady le Mar 28 Mai - 20:58, édité 20 fois
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E. Caleb Grey
E. Caleb Grey
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MessageSujet: Re: Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.    Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.  EmptySam 27 Avr - 10:25

Bienvenue à toi Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.  2409471685
Si tu as la moindre question, n'hésites pas à nous contacter Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.  2494093115

Bon courage pour ta fiche Cool

Spoiler:
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Aaliyah Z. Prady
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Jacob Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.  2494093115 Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.  3660798805
Merci je n'hésiterais pas I love you
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K. Nausicaa Townsend
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JENNIFER MORRISON Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.  2494093115 Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.  2494093115

Bienvenue parmi nous, excellent choix ! Pseudo parfait Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.  4020376562
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Ciarán J. O'Farrell
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BORDEL TON PSEUDO Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.  4250501833 Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.  4250501833
Tout est trop magnifique à chaque fois que tu fais un perso, c'est dingue Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.  2494093115 bienvenue ici choutte Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.  2494093115 je veux un lien de la mort qui tue Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.  4187997885 su tu as besoin n'hésites pas à venir nous voir, on est là pour toi ** Rah je vais baver toute la journée devant l'avatar de ta présa **
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Aaliyah Z. Prady
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Merciii beaucoup Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.  2494093115
Et bien je ne regrette pas mon choix de pseudo I love you
Bien sûr que je te garde un lien chouchou voyons, c'est une évidence Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.  3660798805
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Elizabeth Dónall
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JENNIFER I love you Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.  4072186125 Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.  1779068507
bon courage pour ta fiche Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.  1467001914
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Aaliyah Z. Prady
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MessageSujet: Re: Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.    Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.  EmptySam 27 Avr - 11:44

La belle Nina I love you
Merciii Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.  3660798805
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Lexia G. Evans
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MessageSujet: Re: Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.    Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.  EmptySam 27 Avr - 17:18

OH GOSH JENNIFER *__________* !

Cette fille est juste a tomber par terre ! Elle est excellente !!! Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.  2494093115

Bienvenuee !!!!!
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Aaliyah Z. Prady
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MessageSujet: Re: Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.    Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.  EmptySam 27 Avr - 22:23

Kristen la magnifique Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.  2494093115
Mercii
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J. Nikolaas MacNeil
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MessageSujet: Re: Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.    Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.  EmptySam 27 Avr - 22:45

OHMY Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.  2378390952
Une citation de Fight Club, marry me ! Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.  117071122 Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.  117071122 Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.  117071122 Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.  117071122

Sinon Bienvenuuuuuue bon courage pour ta fichounette Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.  2858229064
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Emrys O'Farrell
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MessageSujet: Re: Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.    Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.  EmptyDim 28 Avr - 15:20

*pousse tout le monde*

MA TOUTE BELLE. Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.  3660798805 Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.  1779068507 Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.  868788508
le personnage déjanté que tu es en train de mettre en place avec 'lolo. Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.  4187997885 j'ai beaucoup aimé la première de ta fiche, soit dit en passant. bienvenue en tout cas, c'est génial de t'avoir. I love you tu me réserves ton meilleur lien, hein ? Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.  2494093115 en tout cas, tu es toujours aussi belle en JoMo et ton pseudo est superbe. I love you
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Aaliyah Z. Prady
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MessageSujet: Re: Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.    Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.  EmptyDim 28 Avr - 21:51

Où est le prêtre ? Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.  570766273
Merci Nikolaas (j'aime beaucoup le choix du prénom I love you & puis SebStan Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.  3660798805 )

Toiiii Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.  3660798805 Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.  4020376562 Merciiiii Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.  5509764
Bien sûr que je te réserve le meilleur des liens, en douterais-tu ? Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.  4060745354 Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.  2345115918
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Ciarán J. O'Farrell
Ciarán J. O'Farrell
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MessageSujet: Re: Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.    Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.  EmptyDim 28 Avr - 22:31

Encore un personnage parfait, et une fiche parfaite Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.  5509764


Tu es validé(e) !
Bienvenue sur Nos Chers Voisins !

Tu as été validé, bravo à toi pour avoir passé avec succès l'étape difficile de la fiche de présentation ! Maintenant, tu vas pouvoir prendre tes aises sur le forum et commencer à rp Mais avant, il va falloir passer à quelques petits endroits qui te seront utiles pour la suite. Comme aller vérifier que ton avatar a bien été ajouté dans le bottin, si non, nous prévenir pour éviter des malentendus. Tu peux aller créer tes propres scénarios, avec la condition d'avoir au moins un rp actif. Puis aller recenser ton métier et te trouver un logement, on a tous le droit d'avoir un toit sur la tête quand même.

Après cette paperasse obligatoire pour tout bon joueur, tu vas pouvoir te trouver des amis et créer ta fiche de relations ainsi que créer ton journal de bord, pour y mettre tes aventures. N'hésite pas à venir sur la chat box, nous y sommes souvent et on fait toujours de super rencontres ! Le flood est aussi à disposition pour toi, et si jamais tu as une question n'hésite jamais à envoyer un MP au staff. Bon jeu sur Nos Chers Voisins, surtout ! ♥️



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MessageSujet: Re: Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.    Sa philosophie de la vie c’était qu’elle pouvait mourir à tout moment. Ce qu’il y avait de tragique selon elle c’est qu’elle ne mourrait pas.  Empty

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